Nous avons tout d'abord choisi une toiture plate (ou presque) car nous prévoyons de la végétaliser lorsque notre budget nous le permettra. outre cet aspect "écologique", le gain financier d'une toiture plate par rapport à une toiture à 2 pentes n'est pas négligeable. Enfin, d'un point de vue purement esthétique, nous apprécions les maisons aux formes cubiques.


Première étape : installation des poutres en i

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Ces poutres sont composées d'une âme de 8 mm en fibre de bois dur et de brides longitudinales en bois massif, donnant aux poutres la forme de I. Elle sont de ce fait beaucoup moins lourdes que des poutres en bois massif et présentent de nombreux avantages tels que :

  • Réduction des ponts thermiques grâce à la faible épaisseur de l'âme.
  • Stabilité dimensionnelle qui permet une longue portée.
  • Faible poids et donc meilleure manuportabilité.
  • Grande capacité de charge.
  • Se travaillent avec l'outillage bois habituel.
  • Hauteur de 400 mm qui permet une isolation épaisse.



Deuxième étape : Mise en place des plaques d'OSB

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Troisième étape : Les acrotères

Dans l'architecture moderne, on appelle mur acrotère, en abrégé acrotère, un muret situé en bordure de toitures terrasses et qui permet le relevé d'étanchéité et de masquer la toiture.

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Cinquième étape : Pose de l'EPDM
La membrane EPDM est une membrane monocouche synthétique entièrement vulcanisée constituée d'Ethylène-Propylène-Diène qui présente un certain nombre d'avantages :

  • Durée de vie supérieure à 50 ans (grâce à une résistance quasi-illimitée aux rayons UV, à l'ozone et aux variations de température).
  • Installation simple et sans flamme (la membrane est appliquée à froid sur le support au moyen de colles de contact).
  • Haute flexibilité et allongement (la membrane reste souple, même à basses températures (-45°C) et dispose d'une élasticité supérieure à 300 % qui lui permet d'absorber les mouvements du support et les variations de température).
  • Matériau chimiquement stable.
  • Coût global réduit (La membrane EPDM nécessite peu ou pas d'entretien, longévité importante et faibles coûts de mise en œuvre).
  • Possibilité de récupérer l'eau de pluie.



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Finitions d’étanchéité au niveau des angles, des jonctions et des boîtes à eau.


Sixième étape : Préparation des caissons dans lesquels la ouate de cellulose est insufflée

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Pose du frein vapeur étanche à l'air à diffusion variable selon le taux d'humidité.

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Mise en place des rubans adhésifs qui assurent l’étanchéité à l‘air


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Plaques en bois sur lesquelles viendront s'appuyer les bottes de paille.



Septième étape : Insufflation de la ouate de cellulose

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Mise en place des couvertines d'acrotère.